Benutzer:TiefeWeite/Abbaye de Saint-Pierre-les-Nonnains de Lyon

aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Zur Navigation springen Zur Suche springen
Dieser Artikel (Abbaye de Saint-Pierre-les-Nonnains de Lyon) ist im Entstehen begriffen und noch nicht Bestandteil der freien Enzyklopädie Wikipedia.
Wenn du dies liest:
  • Der Text kann teilweise in einer Fremdsprache verfasst, unvollständig sein oder noch ungeprüfte Aussagen enthalten.
  • Wenn du Fragen zum Thema hast, nimm am besten Kontakt mit dem Autor TiefeWeite auf.
Wenn du diesen Artikel überarbeitest:
  • Bitte denke daran, die Angaben im Artikel durch geeignete Quellen zu belegen und zu prüfen, ob er auch anderweitig den Richtlinien der Wikipedia entspricht (siehe Wikipedia:Artikel).
  • Nach erfolgter Übersetzung kannst du diese Vorlage entfernen und den Artikel in den Artikelnamensraum verschieben. Die entstehende Weiterleitung kannst du schnelllöschen lassen.
  • Importe inaktiver Accounts, die länger als drei Monate völlig unbearbeitet sind, werden gelöscht.
Vorlage:Importartikel/Wartung-2024-10

Das Kloster Saint-Pierre-les-Nonnains de Lyon, auch bekannt unter dem Namen Abbaye des Dames de Saint-Pierre oder einfach Palais Saint-Pierre ist ein ehemaliges religiöses Gebäude recevant des moniales bénédictines dès le 9. Jahrhundert et reconstruit au 17. Jahrhundert. Es wurde während der Revolution geschlossen und beherbergt heute das Musée des Beaux-Arts de Lyon.

Die Ursprünge des Klosters Saint-Pierre-les-Nonnains

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Das genaue Datum der Gründung der Abtei ist unbekannt. Die Suche danach ist kompliziert, da die ältesten Dokumente nicht verlässlich sind. Im 7. Jahrhundert hat der Bischof von Lyon, Ennemond, in seinem Testament berichtet, dass Aldebert Governeur von Lugdunum unter der Regentschaft von Septimius Severus zum Christentum konvertierte und das Kloster im Jahr 208 reich mit Land versah.[1]

Immer noch laut dem Testament von Ennemond wurde das Kloster vom 4. bis zum 5. Jahrhundert bereits von Äbtissinnen regiert. Der Historiker Alfred Coville hat verlautbaren lassen, dass dieses Testament des Ennemond in dem einige anachronistische Formulierungen eingestreut waren, war ein falsches Zeugnis aus dem Mittelalter, vermutlich, um die Rechte am Besitz des Klosters zu rechtfertigen.[2] Nach einer kritischen Studie zu den historischen Quellen verortete Pierre Picot die ersten Bauten in die Zeit der Merowinger unter dem Bischof Sacerdos von Lyon und ordnet die Konstituierung der monastischen Gemeinschaft dem Bischof Ennemond (Annemundus) im 7. Jahrhundert zu.[3] Joachim Wollasch hält diese Datierung für hypothetisch.[4]

Kein historisches Dokument erlaubt es, genau zu sagen, wann die Regula Benedicti von den Nonnen angenommen wurde. Berger de Moydieu, Autor des 18. Jahrhunderts, ist der Ansicht, dass die Regel unter der Schwester von Ennemond zwischen 665 und 675 in Kraft tritt.[5][6] Pierre Picot sieht diese Annahme erst später in der Zeit von Benoît d'Aniane (gestorben in 821) aktiver Verfechter dieser Regel.[7] Joachim Wollasch teilt diese Meinung, indem er den Fall der Abtei Remiremont annähert. Hier nahmen die Nonnen die Regel unter Ludwig dem Frommen an.[8]

Unter der Regentschaft von Karl dem Großen schrieb der Bischof von Lyon, Leidrade, diesem einen Brief und erwähnte das noch bestehende Gebäude. Er ließ die Abtei komplett umbauen.[9] In der karolingischen Epoche war die Abtei eine der reichsten religiösen Einrichtungen in Lyon. Sie beherbergte 32 Nonnen als Leidrade seinen Brief an Karl den Großen schrieb. Er ist datiert zwischen 809 und 813.

Das Kloster vom 12. bis zum 18. Jahrhundert

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
Plan scénographique de la ville de Lyon au 16e siècle
Détail du Plan scénographique de la ville de Lyon montrant l'abbaye des Dames de Saint-Pierre vers 1550, archives municipales de la ville de Lyon.
Robert Pigout, Perspective de la place des Terreaux avant l'abbaye, 1653

Im Mittelalter wird die Abtei in den offiziellen Texten Monasterium sancti Petri puellarum oder Ecclesia que dicitur sancti Petri puellarum genannt.[10]

Depuis sa fondation, elle a toujours comporté deux églises. L’église conventuelle se nomme église Saint-Pierre. Elle est reconstruite dans le style roman au Vorlage:S-, aspect qu’elle conserve jusqu’à la reconstruction de l'abbaye au Vorlage:S-. Juste à côté d'elle se trouve une autre église plus petite, l’église Saint-Saturnin (appelée aussi Saint-Sornin), qui est une église paroissiale dont les revenus sont perçus par les moniales.

C’est une abbaye aristocratique, régie par des moniales issues de la haute noblesse. Vers le milieu du Vorlage:Smiley: Der Parameter XIV wurde nicht erkannt!Vorlage:Smiley/Wartung/ErrorVorlage:Smiley/Wartung/xiv , les novices, pour être admises au couvent, doivent fournir la preuve d'au moins quatre générations de noblesse paternelle[11]. Les moniales forment une assemblée, que l’on appelle le chapitre, où elles élisent elles-mêmes leur abbesse, qui garde cette position à vie. Celle-ci ne rend compte de son élection qu’au pape et n’est aucunement soumise à l’autorité de l’archevêque de Lyon[11]. Elle porte même la crosse à la manière des évêques. Elle est la maîtresse du couvent et elle administre les nombreux biens matériels lui appartenant. En effet, celui-ci possède de nombreuses richesses, il est notamment fort bien doté en terres.

Jean Chavanne, Perspective de la place des Terreaux après achèvement de l'abbaye, fin du XVIIe siècle

À partir du 16. Jahrhundert cependant, la discipline devient moins stricte et l’on observe des relâchements dans les règles de la vie communautaire : à cette époque les sœurs vivent souvent en dehors du couvent dans des maisons privées, voire dans d’agréables hôtels particuliers entre cour et jardin, et le chapitre ne se réunit guère plus d’une fois par an[12]. Lors d’une visite royale à Lyon en 1503, [[Louis XII de France|Louis Vorlage:XII]] et la reine Anne de Bretagne reçoivent des plaintes concernant la mauvaise conduite des moniales. Celles-ci sont alors sommées de reprendre une vie de clôture dans l’abbaye et de respecter la règle de saint Benoît. Refusant cette réforme, qu’elles jugent trop sévère, les moniales, soutenues par leurs puissantes familles, se rebellent et font appel au pape, leur protecteur, pour défendre leurs droits[12]. En 1516, elles font part de leur mécontentement directement devant la reine Claude de France. Il est alors décidé de les expulser de l’abbaye, ce dont se charge l’archevêque [[François II de Rohan|François Vorlage:II de Rohan]]. Pour les remplacer, des filles de familles moins prestigieuses sont choisies. L’abbaye, même si elle reste toujours aussi riche, perd alors peu à peu ses privilèges et surtout son indépendance : en 1637, elle passe finalement sous l’autorité de l’archevêque de Lyon[13]. Entre-temps, les moniales sont déchues de leur droit de nommer elles-mêmes leur abbesse, privilège qui revient désormais au roi en personne.

L'abbaye royale et la reconstruction du palais Saint-Pierre

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
Entrée depuis la rue du Président-Herriot, condamnée en nov 2015 par le plan Vigipirate
Eingang von der Place des Terreaux

C'est au Vorlage:S- que le palais prend sa configuration actuelle. Des bâtiments antérieurs du couvent Saint-Pierre-les-Nonnains, ne subsiste aujourd’hui que le porche roman de l'église conventuelle, datant de la reconstruction du Vorlage:S-. C’est Anne de Chaulnes (vers 1625-1672), fille du maréchal et pair de France Honoré d’Albert et abbesse de 1649 à sa mort, qui décide, en 1659, de la reconstruction de celle que l’on nomme alors « l’abbaye royale des Dames de Saint-Pierre »[14]. Elle choisit l’architecte avignonnais François Royers de la Valfrenière pour mener à bien ce projet. Déjà âgé à l’époque des travaux (il meurt en 1667), la reconstruction du palais est son grand-œuvre. Il conçoit l’élévation monumentale de la façade le long de la place des Terreaux ainsi que celle des deux façades latérales.

La première pierre est posée par un « petit pauvre » le Vorlage:Date. L'édifice conçu par Royers de la Valfrenière se présente comme un imposant palais de style romain, s'étirant sur tout un long côté de la place des Terreaux.

Mais, à la mort d’Anne de Chaulnes en 1672, deux ailes doivent encore être construites et la réalisation du décor intérieur n’a pas encore commencé. C’est sa belle-sœur, Antoinette de Chaulnes (1633-1708), qui, lui ayant succédé à la tête de l’abbaye en 1675, va mener à terme le projet. Une somptueuse décoration intérieure, aujourd’hui presque entièrement perdue, est exécutée entre 1676 et 1687[14]. Une partie des travaux est confiée au peintre et architecte lyonnais Thomas Blanchet (1614-1689), « Premier peintre de la Ville », qui, depuis son retour d’Italie en 1655, est très estimé pour ses décors monumentaux. À l’époque où Antoinette de Chaulnes fait appel à lui, il vient de prouver l’étendue de son talent en décorant les plafonds et les murs de l’hôtel de ville[15]. De ses réalisations au palais Saint-Pierre, ne subsistent plus, de nos jours, que le grand escalier d’honneur, auquel une restauration récente a rendu son éclairage d’origine par cinq fenêtres, et le réfectoire, à l’exubérant décor baroque. Pour décorer celui-ci, il s’entoure des sculpteurs Simon Guillaume et Nicolas Bidault, de Marc Chabry qui réalise les armoiries (notamment celles des sœurs de Chaulnes) et du peintre Louis Cretey, récemment revenu d’Italie, qui peint deux toiles monumentales aux extrémités de la salle ainsi que trois compositions décorant les oculi de la voûte. Au total, les travaux de reconstruction auront coûté la somme, considérable pour l'époque, de Vorlage:Unité[16]. Le palais et son nouveau décor restent inchangés jusqu’à la Révolution[17]. Des échoppes sont aménagées au rez-de-chaussée du palais lors de sa reconstruction, afin d'être louées à des commerçants, ce qui assure des revenus importants à l'abbaye. Le nouveau bâtiment est, au moment de son achèvement, la plus belle réalisation baroque de Lyon et son étendue et sa monumentalité toutes italiennes ne cessent pas de fasciner les visiteurs. Au Vorlage:Smiley: Der Parameter XVIII wurde nicht erkannt!Vorlage:Smiley/Wartung/ErrorVorlage:Smiley/Wartung/xviii , l’abbaye est toujours aussi prospère. En 1755, elle est considérée comme l’une des cinq plus riches de France[16].

Säkularisation

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

La Révolution française bouleverse la destination du lieu et sonne le glas de l'abbaye, après plus de mille ans d'existence. Les trente-et-une moniales encore présentes au monastère en 1790 sont expulsées deux ans plus tard, à la suite des décrets des 4 et Vorlage:Date qui suppriment les congrégations religieuses[16]. Vidé de ses occupants, le palais échappe alors de peu à la destruction qu’ont connu tant d’autres établissements religieux à la Révolution. Si la plupart des décors intérieurs disparaissent lorsqu’une caserne s’installe dans le palais en 1793, et si l’église Saint-Saturnin est détruite, le bâtiment est finalement épargné par les différents projets d’urbanisme mis au point par les révolutionnaires, dont un prévoyait notamment de pratiquer des ouvertures au milieu

Le Vorlage:Date-, la bourse de commerce s'installe dans l'ancienne abbaye. Le Vorlage:Date, l'arrêté Chaptal crée un musée des Beaux-Arts à Lyon[14]. Le Vorlage:Date-, le museum est installé par arrêté préfectoral dans l'ancienne abbaye. Le Vorlage:Date-, la ville affecte le palais Saint-Pierre à des établissements d'instruction publique et de commerce[18].

La première salle du musée est ouverte au public en 1803, au premier étage de l’aile sud, dans l’ancien chauffoir de l’abbaye[18].

En 1835, la faculté des sciences occupe une partie de l'ancienne abbaye. Elle est rejointe en 1838 par la faculté des lettres[19].

En 1860, le palais de la Bourse est inauguré. La bourse et la chambre de commerce quittent l'ancienne abbaye[19].

Fassade des Museums von der Place des Terreaux (Nov 2015)

Das Palais Saint-Pierre in seiner Gesamtheit ist seit dem 28. Mai 1927 denkmalgeschützt.[20] Die Fassaden und das Dach ist seit dem 08. August 1938 denkmalgeschützt.[20]

Die Kirche Saint-Pierre wurde im 7. Jahrhundert gegründet. Sie wurde im Breve von Leidrade am Anfang des 9. Jahrhunderts genannt.[21] Sie wurde demnach von dem heiligen Annemond oder Ennemmond (Annemundus) errichtet und besaß einige Reliquien.

Sie wurde im 12. Jahrhundert rekonstruiert. In dieser Zeit bestand die Kirche aus einem einzigen Schiff, das von einer fünfgliedrigen Apsis abgeschlossen wurde. Die Arme des Querschiffs wurden von seitlichen Kapellen im Norden für die heilige Marguerite und im Süden für den heiligen Benoît geprägt.

Von der romanischen Kirche bestehen die Fenster fort. Sie wurden in einer inneren Passage und der Portalvorbau in der Rue Paul-Chenavard wiedergefunden. Im 14. Jahrhundert wurden seitliche Kapellen hinzugefügt, die die heutige Form bilden. Ein Teil der Kirche wurde in 1562 während der Religionskriege von den Protestanten unter dem Befehl des Baron des Adrets zerstört.

Im Jahr 1742 erweiterte der Architekt Antoine Degérando den Chor[22] und erbaute den Glockenturm.

Im Jahr 1807 wurde Saint-Pierre zur Pfarrkirche. 100 Jahre später, in 1907, wurde sie stillgelegt dem Gesetz der Trennung von Kirche und Staat folgend. Sie wurde dem Musée des Beaux-Arts zugewiesen. Ein Teil der Skulpturensammlung wird dort gezeigt.[23]

Die Vorhalle, die zwei Türen und die Fassade stehen unter Denkmalschutz seit dem 16. Februar 1921.[24]

Es bestand eine zweite Kirche, die dem Heiligen Saturnin geweiht war und gemeinhin Saint-Sorlin genannt wurde. Sie erstreckte sich südlich von Saint-Pierre nd wurde von der Gemeinde für Taufen und Hochzeiten genutzt. Sie war mit einem Turmvorbau ausgestattet. Das Gebäude wurde 1793 verkauft und zerstört.[25]

Konventsgebäude

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Das barocke Refektorium wurde ab 1684 nach Plänen von Thomas Blanchet ausgeführt. Die Ikonographie wurde von ihm erdacht, nachdem er die große Ehrentreppe realisiert hatte. Heute dient das Refektorium dem Empfang von Gruppen. Wegen seiner Fülle an Dekor ist es heute noch eines der zentralen Zeugnisse der barocken Kunst in Lyon und auch der Prachtentfaltung der Abbaye royale des Dames de Saint-Pierre im 17. Jahrhundert. Erstaunlicherweise hat es die revolutionären Zerstörungen überlebt und so konstituieren heute religiöse Sujets das Dekor des Museums. Das Refektorium ist durch zwei monumentale Malereien geschmückt, die sich an den beiden Stirnseiten gegenüberstehen. Das Thema des Raumes ist die Speise gemäß der ursprünglichen Bestimmung des Raums. Es handelt sich hierbei in den Lunetten um die wundersame Brotvermehrung und das Abendmahl. In den Rundfeldern der Decke sind Mariä Himmelfahrt, Christi Himmelfahrt und der Prophet Elija von Louis Cretey dargestellt. Der Rest des Dekors besteht aus Skulpturen, die von Nicolas Bidault (1622-1692) und Simon Guillaume, Urheber der 14 Figuren, hergestellt wurden. Marc Chabry hat die Wappen hergestellt. Die Wappen der Äbtissinnen Anne und Antoinette de Chaulnes befinden sich am Giebel der östlichen Eingangstür. Das Wappen des Königs von Frankreich befindet sich am zweiten Gurtbogen.

Skulpturen von Simon Guillaume, nach Zeichnungen von Thomas Blanchet
  • 1687-1689 - La Tempérance - La Pénitence - Sainte Barbe - Saint Ennemond - Sainte Marguerite - Saint Pierre reniant le Christ - Saint Jean à Patmos - La Nativité du Christ - Saint Benoît dans la grotte - Le Baptême du Christ - Sainte Catherine - Saint Antoine - La Chasteté - La Charité


L'entrée du cloître du palais Saint-Pierre de Lyon par Ferdinand Bourjot, vers 1820, plume et lavis d'encre de Chine sur papier, 20 x Vorlage:Unité.

Die Architektur des Klosters wurde im 19. Jahrhundert großflächig von den Architekten René Dardel und Abraham Hirsch verändert. Aus dieser Zeit stammen die Wandmalereien unter den Arkaden. Der Brunnen mit dem runden Bassin im Zentrum des Gartens besteht aus einem antiken Sarkophag mit einer Statue des Apollon. Mehrere Skulpturen von Künstlern des 19. Jahrhunderts wurden unter anderem im Garten untergebracht. Die Gartenparterre sind von Abraham Hirsch nach den Originalplänen des 17. Jahrhunderts angelegt. Sie sind das ganze Jahr von 8h30 18h30 zugänglich.

(Liste nicht vollständig)

Prétendue fondation du Vorlage:S-

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Alfred Coville a démontré le caractère fallacieux de la prétendue fondation par Aldebert, gouverneur de Lugdunum sous Septime Sévère, et donc de cette chronologie[26]

  • Radegonde, fille d'Aldebert
  • Aldegonde, seconde fille d'Aldebert .
  • 665–675 - Lucie

Liste der Äbtissinnen[27]

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
  • Vorlage:VIIe siècle - Raymonde, fille du seigneur Rodolphe.
  • VIIe siècle - Wadelmonde, fille du seigneur Constantin.
  • VIIe siècle - Radegonde, contemporaine de saint Ennemond, morte vers 665.
  • VIIe siècle - Animonie, contemporaine de saint Ennemond.
  • VIIe siècle - Lucie, sœur de saint Ennemond.
  • VIIe siècle - Pétronille, sœur de saint Ennemond.
  • VIIIe siècle - Dida, contemporaine de saint Fulcoad, évêque de Lyon.
  • 723-750 - Marie.
  • 750 - Jeanne.
  • VIIIe siècle - Adalaisie, morte après 780.
  • VIIIe siècle - Agnès Ière.
  • IXe siècle - Deidona. Elle était vivante en 807.
  • IXe siècle - Noémi Ière, morte en 832.
  • 832-850 - Pontia.
  • 850-895 - Oda Ière.
  • 895-??? - Bérarde, ou Bernarde Ière. Elle vivait en 900.
  • ???-925 - Garamburge ou Haramburge Ière.
  • 925-988 - Élisabeth Ière.
  • 936-988 - Rollinde.
  • 988-? - Aisseline. Elle vivait en 993.
  • ?-1016 - Bérarde ou Bernarde II.
  • 1016-1044? - Adélaïs ou Alise Artaud.
  • 1044?10?? - Alix ou Alise. Elle vivait en 1044.
  • 10??-1090- Noémi II de Vanoc.
  • 1090-1130 - Agnès II.
  • 1130-11?? - Oda II.
  • 11??-1184? - Rollande ou Rollinde II. Elle vivait en 1157.
  • 1184-1194 - Loos de Forez.
  • 1194-v.1198 - Garamburge ou Haramburge II.
  • v.1198-1220 - Agnès II de Guignes.
  • 1220-1223 - Élisabeth II.
  • 1223-1236 - Béatrix/Béatrice Ière de Savoie.
  • 1236-12?? - Guillemette ou Guillelmine de Forez. Elle est la sœur du comte de Forez.
  • 12??-1244 - Bérarde ou Bernarde III.
  • 1244-12?? - Guillemette ou Guillelmine II de Montferrand.
  • 12??-1254 - Agnès IV de Chalon.
  • 1254-12?? - Alix/Alice/Adélaïde de Savoie, fille du comte de Savoie [[Thomas Ier de Savoie|Thomas Vorlage:Ier]].
  • 12??-12?? - Brune de Grammont.
  • 12??-1266 - Béatrix/Béatrice II. Elle est réputée être de la maison royale d'Artois.
  • 12??-1290 - Agathe de Savoie, probable fille du comte Vorlage:Noble.
  • 1290-1292 - Agnès V de Beaujeu, fille d'Humbert de Beaujeu.
  • 1292-1???- Agnès VI de Charvins.
  • 1???-13?? - Marguerite Ière de Solignac. Elle était abbesse en 1326.
  • 13??-1346 - Sibille Ière de Varennes. Elle était abbesse en 1336.
  • 1346-1353? - Gabrielle de Courtenay.
  • 1353?-13?? - Agnès VII de Guignes.
  • 13??-1370 - Huguette de Thurey. Elle vivait en 1364.
  • 1370-1386 - Agathe II de Thurey, fille de Gaspard, comte de Noyers, seigneur de Morillon, maréchal de Bourgogne, gouverneur et sénéchal de Lyon, nièce de Philippe, archevêque de Lyon et de Pierre, évêque de Marseille et Cardinal.
  • 1386-1390 - Richarde de Saluces.
  • 1390-1435 - Antoinette de La Rochette, fille de Jean de Seyssel, maréchal de Savoie (1436-1457) et de Françoise de La Baume-Montrevel.
  • 1435-14?? - Pernette, Péronne ou Pétronille d'Albon, fille de Guillaume, seigneur de Saint-Forgeux et d'Alix de l'Espinasse.
  • 14??-1455 - Alix de Vassalieu. Elle est d'abord abbesse de Saint-André de Vienne en 1443.
  • 1455-1477 - Marie d'Amanzé. Elle est vivante en 1487. Elle était fille de Guillaume, seigneur d'Amanzé et de Marguerite de Semur.
  • 1477-14?? - Sibille II d'Albon.
  • 14??-1487 - Marie II d'Albon. Elle est d'abord prieure de Pouilly.
  • 1487-1493 - Guicharde d'Albon. Elle est la nièce de Pernette, Péronne ou Pétronille d'Albon, et sœur de Jean, abbé de Savigny, fille de Jean, seigneur de Saint-André et de Guillemette de Laire.
  • 1493-1503 - Guillemette III d'Albon. Elle est la sœur ou la nièce de l'abbesse Guicharde. Elle est la fille de Gilet, seigneur de Saint-André et d'Ouches et de Jeanne de La Palisse.
  • 1503-1516 - Françoise Ière d'Albon de Saint-André. Elle est la fille de Guichard d'Albon et d'Anne de Saint-Nectaire.
  • 1516-1520 - Antoinette II d'Armagnac.
  • 1520-1550 - Jeanne de Thouzelles.
  • 1550-1550 - Marguerite II d'Amanzé.
  • 1550-1599 - Françoise II de Clermont. Elle est la fille d'Antoine, vicomte de Clermont et d'Anne de Poitiers, sœur de Diane de Poitiers.
  • 1600-1610 - Françoise de Beauvilliers de Saint-Aignan. Elle est la fille de Claude, comte de Saint-Aignan et de Marie Babou de La Bourdaisière. Elle est la nièce de Madame de Clermont. Elle était religieuse au monastère de Beaumont-les-Tours avant d'être nommée.
  • 1610-1632 - Marie-Françoise de Lévis-Ventadour. Elle est la fille de Anne de Lévis, duc de Ventadour et de Marguerite de Montmorency. Elle fut religieuse à Chelles, puis coadjutrice de l'abbesse d'Avenay, Françoise de la Marck, sa tante maternelle[28], puis elle permuta avec Françoise de Beauvilliers en 1610. Elle mourut en 1649 ou 1650.
  • 1632-1635 - Charlotte de Lorraine de Guise. Elle était fille naturelle de Louis, cardinal de Guise, archevêque de Reims, et de Charlotte des Essarts, comtesse de Romorantin. Elle fut religieuse à Jouarre avant de venir à Saint-Pierre.
  • 1635-1648 - Élisabeth III d'Epinac. Elle est la nièce de l'archevêque de Lyon, Pierre d'Epinac.
  • 1649-1672 - Anne d'Albert d'Ailly de Chaulnes. Elle décide de la restauration de l'abbaye telle qu'elle est dans l'état actuel, par l'architecte François de Royers de La Valfrenière. Elle est la fille d'Honoré d'Albert, duc et pair de Chaulnes et maréchal de France, et de Charlotte d'Ailly. Elle était auparavant professe à l'Abbaye-aux-Bois.
  • 1672-1708 - Antoinette III d'Albert d'Ailly de Chaulnes de Picquigny. Elle est la sœur de la précédente. Elle poursuit les travaux entrepris par sa sœur et fait appel à Thomas Blanchet.
  • 1708-1738 - Guyonne-Françoise-Judith de Cossé-Brissac. Elle avait été religieuse à Panthémont et elle est la fille de Timoléon, comte de Brissac, chevalier des Ordres, Grand Panetier de France, et de Marie Charron d'Ormeilles.
  • 1738-1772 - Anne de Melun d'Epinoy, descendante des comtes de Melun et des princes d'Epinoy. Elle avait été professe à l'abbaye d'Origny et abbesse de Cézanne.
  • 1772-1790 - Marguerite-Madeleine de Monteynard, dernière abbesse.

Einzelnachweise

[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]
  1. Pierre-Maurice Bénasse, Les Six Naissances de l’Abbaye royale des Bénédictine de Saint-Pierre de Lyon, musée des Beaux-Arts de Lyon, 2010, Vorlage:P..
  2. Testament de saint Ennemond 655 ou XIIè-XIIIè s. Abgerufen am 12. August 2024 (französisch).
  3. René Lacour: Joseph Picot, L'abbaye de Saint-Pierre de Lyon. Paris, Société d'édition « Les Belles Lettres », 1970. (Publication de la Bibliothèque de la Faculté des Lettres de Lyon.). In: Bibliothèque de l'École des chartes. Band 128, Nr. 2, 1970, S. 498 (persee.fr [abgerufen am 7. Oktober 2024]).
  4. Joachim Wollasch, Edmond-René Labande: Joseph Picot. — L'abbaye de Saint-Pierre de Lyon. In: Cahiers de Civilisation Médiévale. Band 16, Nr. 64, 1973, S. 342–342 (persee.fr [abgerufen am 7. Oktober 2024]).
  5. Berger de Moydieu, « Tableau historique de l'abbaye royale de S. Pierre... Second manuscrit, revu, corrigé et augmenté. 1783 ».
  6. Pierre-Maurice Bénasse, Les Six Naissances de l’Abbaye royale des Bénédictine de Saint-Pierre de Lyon, musée des Beaux-Arts de Lyon, 2010, Vorlage:P..
  7. Joseph Picot: l'Abbaye de Saint-Pierre de Lyon. Les Belles-Lettres, Paris 1970, S. 20.
  8. Joachim Wollasch, Edmond-René Labande: Joseph Picot. — L'abbaye de Saint-Pierre de Lyon. In: Cahiers de Civilisation Médiévale. Band 16, Nr. 64, 1973, S. 342–342 (persee.fr [abgerufen am 7. Oktober 2024]).
  9. Leidrade, Lettre à Charlemagne, éd. E. Dümmler, Monumenta Germaniae historica, Epistolae, IV (1895), p. 543, 25-28 : Monasterium quoque puellarum in honorem sancti Petri dedicatum (...) ego a fundamentis tam ecclesiam quam domum restauraui : ubi nunc sanctimoniales numero triginta duae secundum institutionem regularem uiuentes habitare uidentur.
  10. Musée des beaux-arts de Lyon: Le Musée des Beaux-Arts de Lyon de A à Z. Fage, Lyon 2009, ISBN 978-2-84975-164-0, S. 46.
  11. a b Vorlage:Harvsp
  12. a b Vorlage:Harvsp
  13. Vorlage:Harvsp
  14. a b c Philippe Durey (dir.), Le musée des Beaux-Arts de Lyon, Albin Michel, Paris, 1988, Vorlage:P.9.
  15. Lucie Galactéros de Boissier, Thomas Blanchet, 1614-1689, Arthéna, Paris, 1991, catalogue raisonné.
  16. a b c Vorlage:Harvsp.
  17. Vorlage:Harvsp.
  18. a b Pierre Vaisse (dir.), L’esprit d’un siècle : Lyon 1800-1914, Lyon, Fage Éditions, 2007, Vorlage:P.
  19. a b Pierre Vaisse (dir.), Vorlage:Opcit, Vorlage:P.
  20. a b Eintrag Nr. PA00117981 in der Base Mérimée des französischen Kulturministeriums (französisch)
  21. Musee des beaux-arts sur le site du service archéologique de la ville de Lyon
  22. Sylvie Ramond (dir), Le musée des Beaux-Arts de Lyon, de A à Z, (Das Datum 1742 wird auf Seite 165, in der "chronologie" genannt), Lyon, Fage, 2009
  23. L'abbaye royale sur le site du musée des Beaux-Arts de Lyon
  24. Eintrag Nr. PA00117803 in der Base Mérimée des französischen Kulturministeriums (französisch)
  25. Jane Dubuisson, Eintrag Nr. PA00117803 in der Base Mérimée des französischen Kulturministeriums (französisch)
  26. Vorlage:Harvsp
  27. Vorlage:Ouvrage
  28. Vorlage:Article.